Spike, encore

Une nouvelle étude publiée ce 31 août 2023 dans la revue Proteomics (Wiley) montre que la protéine Spike du SARS-CoV-2 dans sa forme vaccinale (1) a été trouvée dans 50 % des échantillons biologiques (analysés par des méthodes de protéomique) entre 69 et 187 jours après la vaccination. Un tel délai dément les affirmations des producteurs sur la courte demi-vie des produits vaccinaux dans l’organisme.

On sait déjà depuis quelque temps que, contrairement à la brièveté de la persistance de l’ARNm vaccinal annoncée – et maintes fois confirmée – par les producteurs et les organismes régulateurs et/ou de contrôle, relayées par des institutions médicales, on retrouve en réalité cet ARNm en circulation dans l’organisme des individus vaccinés deux semaines après l’injection. Il n’est donc pas étonnant que, malgré les dénégations des mêmes instances ou de laboratoires de recherche, on découvre aujourd’hui que la protéine Spike reste détectable chez certaines personnes au moins jusqu’à 6 mois après la vaccination (durée maximum de l’observation).

Certes, il n’y a pas ici de démonstration d’une corrélation entre la persistance de Spike dans l’organisme vacciné (en durée et en quantité) et des effets secondaires non-désirés, mais ces observations donnent un signal d’alerte supplémentaire à ne pas négliger, connaissant la toxicité potentielle de Spike.

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(1) la protéine Spike produite suite à une vaccination par ARN messager (ou par ADN en vecteur) n’a pas tout-à-fait la même conformation que lorsqu’elle fait partie du virus (https://www.science.org/doi/10.1126/science.abe1502), ce qui permet, en utilisant les techniques de l’article de Proteomics, de l’identifier comme originaire du vaccin et non comme reliquat d’une infection virale.

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