L’observation aux USA de la présence d’ADN dans des échantillons de vaccins à ARNm (Pfizer et Moderna), apparemment liée au mode de purification de l’ARN et rapportée dans un précédent article de ce blog en juillet dernier est maintenant confirmée au Canada sur un échantillonnage plus étendu.
(Dernière version publiée le 20/10/2013).
Encore une fois, il n’est pas question ici de prétendre que cette contamination est responsable d’un effet non-désiré de ces vaccins, il s’agit cependant de mettre en évidence un danger potentiel et absolument non-évalué, l’absence de déclaration exhaustive de la composition de ces produits ainsi que la non-conformité de leur étiquetage. Concernant un matériel biologique injectable, ce défaut est inadmissible.
Novembre 2023, réponse de la FDA américaine à la demande de retrait :
« The FDA is not required to take the COVID-19 vaccine, or other COVID-19 shots, off the market. With over a billion doses of the mRNA vaccines administered, no safety concerns related to the sequence of, or amount of, residual DNA have been identified. With regard to the FDA-approved mRNA vaccines, available scientific evidence supports the conclusion that they are safe and effective ».
Note ajoutée le 18/05/2024 :
« Les impuretés de l’ADN peuvent avoir une incidence sur la sécurité des produits pharmaceutiques issus du génie génétique ; une valeur limite spécifique doit donc être fixée pour ces impuretés lors de l’autorisation de mise sur le marché. Cela s’applique particulièrement aux vaccins à ARNm, car de grandes quantités d’ADN sont utilisées pour leur production. En outre, lors de la quantification de la teneur totale en ADN dans le produit final, il convient de noter qu’en plus de l’ARNm, les impuretés d’ADN sont également incluses dans des nanoparticules lipidiques et sont donc difficiles à quantifier. En fait, le fabricant du vaccin ARNm Comirnaty (BioNTech/Pfizer) ne mesure les impuretés d’ADN dans la substance active qu’au moyen d’une PCR quantitative (qPCR), dont la séquence cible d’ADN est inférieure à seulement 1 % de la matrice d’ADN ajoutée à l’origine. Cela signifie qu’il n’y a pas de quantification directe de l’ADN et que le respect de la valeur limite de contamination par l’ADN n’est estimé qu’à partir des données de la qPCR à l’aide de méthodes d’extrapolation mathématique. Toutefois, il est également possible de dissoudre les nanoparticules lipidiques avec un détergent pour mesurer directement la contamination par l’ADN dans le produit final en utilisant des méthodes de spectroscopie de fluorescence. Les tests expérimentaux de cette approche confirment que des valeurs fiables peuvent être obtenues de cette manière. »
Ouvertures immédiates / Immediate openings 
Donc c’est comme la soupe Minestrone : on trouve une peu de tout …
J’aimeJ’aime
Merci de votre précieuse vigilance et du partage de l’information !
J’aimeJ’aime
Alexandra Henrion-Caude en avait parlé, pensez-vous bien, traînée dans la boue……., bien fait de ne pas pas avoir pris cette soupe……pas encore au point……..contrairement à la fable que l’on voudrait raconter ………..
J’aimeJ’aime
La différence avec A.H-C., c’est qu’elle affirme que l’ADN – que ce soit de l’ARN rétro-transcrit, ou de l’ADN contaminant – est effectivement intégré dans l’ADN des cellules transfectées, y compris dans les cellules germinales, ayant ainsi un impact sur les générations futures et sur le pool génétique de l’espèce humaine. Pour ma part, je ne vais pas si loin car je n’en ai pas d’évidence. Je me contente de faire observer que ce risque existe, qu’il mérite qu’on y consacre une attention extrêmement sérieuse et que faire l’impasse sur cette dissimulation n’est pas acceptable…
J’aimeJ’aime